Cher Fils, Salut et Bénédiction Apostolique,
Maintenant que va se terminer bientôt la 50e année depuis le jour, où, revêtu de la dignité sacerdotale, vous avez, pour la première fois, offert le Saint Sacrifice, Nous ne voulons pas que vous soyez privé des félicitations de Notre cœur paternel. Et ce d’autant plus que nous avons appris qu’actuellement vous êtes confiné dans un hôpital, non pas tant à cause du déclin de l’âge, mais pour de sérieuses infirmités. Et donc que vous ne pouvez pas travailler, avec ce dévouement et cette promptitude qui vous étaient habituels, à la consécration des familles catholiques au très doux Cœur de Jésus.